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Maison-Atelier d’artiste
Arch. Louis Süe et Paul Huillard - 1906
3 bis Rue Cassini.
À deux pas des logements et ateliers d’artistes de Charles Abella, une réalisation des architectes Louis Süe et Paul Huillard pour le compte du couple de peintres Lucien et Jeanne Simon.
Cette maison-atelier dispose de deux étages sur rez-de-chaussée. Bien que le soubassement en pierre soit un peu massif, les étages viennent apporter de la légèreté. Un oriel tout en saillie unifie le rez-de-chaussée et le premier étage.
Le raffinement se trouve au niveau de la façade de l’atelier, avec ses six verrières élégamment séparées par de fines poutres en béton armé.
3 bis Rue Cassini.
À deux pas des logements et ateliers d’artistes de Charles Abella, une réalisation des architectes Louis Süe et Paul Huillard pour le compte du couple de peintres Lucien et Jeanne Simon.
Cette maison-atelier dispose de deux étages sur rez-de-chaussée. Bien que le soubassement en pierre soit un peu massif, les étages viennent apporter de la légèreté. Un oriel tout en saillie unifie le rez-de-chaussée et le premier étage.
Le raffinement se trouve au niveau de la façade de l’atelier, avec ses six verrières élégamment séparées par de fines poutres en béton armé.


Maison-Atelier d’artiste
Arch. Louis Süe et Paul Huillard - 1903
5 bis Rue Cassini.
Une autre réalisation des architectes Louis Süe et Paul Huillard pour le compte du peintre Jean-Paul Laurens.
Un style historiciste médiéval, avec 2 étages sur rez-de-chaussée avec une distribution totalement identique à celle de sa voisine (n°3bis).
La structure est en ciment armé, la façade parée de briques rouges. Une baie vitrée en arc en plein cintre est agrémentée d’une grille en fer forgé.
La porte d’entrée est surmontée de 2 petites lucarnes. L’atelier occupe tout le dernier étage.
5 bis Rue Cassini.
Une autre réalisation des architectes Louis Süe et Paul Huillard pour le compte du peintre Jean-Paul Laurens.
Un style historiciste médiéval, avec 2 étages sur rez-de-chaussée avec une distribution totalement identique à celle de sa voisine (n°3bis).
La structure est en ciment armé, la façade parée de briques rouges. Une baie vitrée en arc en plein cintre est agrémentée d’une grille en fer forgé.
La porte d’entrée est surmontée de 2 petites lucarnes. L’atelier occupe tout le dernier étage.


Logements et Ateliers d’artistes
Arch. Charles Abella - 1930
12 Rue Cassini.
Une des rares réalisations de Charles Abella sur Paris (avec 53 avenue Foch et 20 rue Notre-Dame-des-Victoires et 22 rue du Dr Germain Sée).
Intéressons nous à celui de la rue Cassini (classé MH 2001), une réalisation marquante de l’architecture moderne parisienne des années 30. Il est implanté perpendiculairement à la rue Cassini, avec un volume en porte-à-faux. Celui de la cage d’escalier est en retrait, percé de grandes baies vitrées verticales qui suivent le même tracé que les escaliers.
Un ensemble d’une grande force sculpturale, appuyée par un revêtement lavé gravillonné sur l’ensemble de la façade.
La façade, côté rue, est celles des appartements (tous des deux pièces) dotés de loggias.
En retrait derrière la cage d’escaliers, les ateliers d’artistes en double hauteur, dotés en façade d’oriels vitrés à trois faces.
Un des ateliers était occupé par le sculpteur Xavier Haas, on retrouve un de ses bas-reliefs à droite du portail de l’entrée principale. Quatre personnages y sont représentés: le musicien (non visible côté rue), le poète, le peintre et le sculpteur. Le bas-relief se prolonge côté cour.
Sachez que Jean Moulin alias Max a séjourné ici quelques mois en 1943, peu de temps avant son arrestation.
12 Rue Cassini.
Une des rares réalisations de Charles Abella sur Paris (avec 53 avenue Foch et 20 rue Notre-Dame-des-Victoires et 22 rue du Dr Germain Sée).
Intéressons nous à celui de la rue Cassini (classé MH 2001), une réalisation marquante de l’architecture moderne parisienne des années 30. Il est implanté perpendiculairement à la rue Cassini, avec un volume en porte-à-faux. Celui de la cage d’escalier est en retrait, percé de grandes baies vitrées verticales qui suivent le même tracé que les escaliers.
Un ensemble d’une grande force sculpturale, appuyée par un revêtement lavé gravillonné sur l’ensemble de la façade.
La façade, côté rue, est celles des appartements (tous des deux pièces) dotés de loggias.
En retrait derrière la cage d’escaliers, les ateliers d’artistes en double hauteur, dotés en façade d’oriels vitrés à trois faces.
Un des ateliers était occupé par le sculpteur Xavier Haas, on retrouve un de ses bas-reliefs à droite du portail de l’entrée principale. Quatre personnages y sont représentés: le musicien (non visible côté rue), le poète, le peintre et le sculpteur. Le bas-relief se prolonge côté cour.
Sachez que Jean Moulin alias Max a séjourné ici quelques mois en 1943, peu de temps avant son arrestation.


Immeuble de logements
Arch. Étienne-Maurice Bergounioux - 1899
15 rue Morère.
Une réalisation classique pour cet immeuble avec un appareillage de pierre et brique et ses décors de lave émaillée.
15 rue Morère.
Une réalisation classique pour cet immeuble avec un appareillage de pierre et brique et ses décors de lave émaillée.


Immeuble de logements
Arch. Étienne-Maurice Bergounioux - 1900
23-23bis, rue Morère.
Imposante réalisation de cinq étages et huit travées. Une alternance entre travées nues et oriels richement ornés. La fine huisserie de leurs ouvertures dans l’esprit Art nouveau est tantôt rectiligne, tantôt curviligne en accord avec les ferronneries.
23-23bis, rue Morère.
Imposante réalisation de cinq étages et huit travées. Une alternance entre travées nues et oriels richement ornés. La fine huisserie de leurs ouvertures dans l’esprit Art nouveau est tantôt rectiligne, tantôt curviligne en accord avec les ferronneries.


Atelier d'artiste
Villa d’Alésia au cœur du quartier du petit Montrouge


Atelier d'artiste
43 Villa d’Alésia au cœur du quartier du petit Montrouge


Logements et ateliers d’artistes
Arch. Emile Molinié - 1913
7 rue Lebouis - 2 impasse Lebouis.
Double fonction avec cet immeuble de logements et d’ateliers d’artistes,.
Il fut le siège de la rédaction de l’ancien magazine Actuel avant de devenir jusqu’en 2018 l’espace de la Fondation Henri-Cartier-Bresson.
L’ensemble à l’ornementation Art nouveau, possède déjà quelques caractéristiques des constructions modernes à venir. Mais ici c’est la technique décorative par sgraffite qu’il faut souligner avec le fronton de l’entrée et la corniche.
7 rue Lebouis - 2 impasse Lebouis.
Double fonction avec cet immeuble de logements et d’ateliers d’artistes,.
Il fut le siège de la rédaction de l’ancien magazine Actuel avant de devenir jusqu’en 2018 l’espace de la Fondation Henri-Cartier-Bresson.
L’ensemble à l’ornementation Art nouveau, possède déjà quelques caractéristiques des constructions modernes à venir. Mais ici c’est la technique décorative par sgraffite qu’il faut souligner avec le fronton de l’entrée et la corniche.


Résidence étudiante Chris Marker
Arch. Eric Lapierre - 2017
146-158, rue de la Tombe Issoire.
Grande barre de 100m de long et 30m de hauteur. Structure linéaire et géométrique coupée par une diagonale qui créée un vide dédié à la circulation. Les colonnes en béton lisse avec des coffrages en acier. Elles font penser à la sculpture de C. Brancusi “Colonne sans fin”
146-158, rue de la Tombe Issoire.
Grande barre de 100m de long et 30m de hauteur. Structure linéaire et géométrique coupée par une diagonale qui créée un vide dédié à la circulation. Les colonnes en béton lisse avec des coffrages en acier. Elles font penser à la sculpture de C. Brancusi “Colonne sans fin”


Ateliers d’artistes
Arch. André Arfvidson 1911.
31-31bis rue Campagne-Première.
Cette réalisation est de celles qui annoncent l’arrivée du mouvement moderne. Elle illustre parfaitement la transition qui se prépare entre l’art nouveau, l’art déco et le style international.
La façade est habillée de carreaux de grès polychromes et de guirlandes marrons et ocres dans le style de l’époque (Artiste Alexandre Bigot)
Les immenses baies vitrées annoncent quant à elle le mouvement moderne et ses spacieux volumes.
Cet immeuble comporte 20 ateliers d’artistes de grand confort.
31-31bis rue Campagne-Première.
Cette réalisation est de celles qui annoncent l’arrivée du mouvement moderne. Elle illustre parfaitement la transition qui se prépare entre l’art nouveau, l’art déco et le style international.
La façade est habillée de carreaux de grès polychromes et de guirlandes marrons et ocres dans le style de l’époque (Artiste Alexandre Bigot)
Les immenses baies vitrées annoncent quant à elle le mouvement moderne et ses spacieux volumes.
Cet immeuble comporte 20 ateliers d’artistes de grand confort.


Immeuble de rapport
Arch. Léon Boucher - 1911/1912
1 Rue Boulard / rue Froidevaux.
Voici une réalisation caractéristique de la transition entre l’Art nouveau et l’Art déco. Il est situé face au cimetière du Montparnasse. Il est doté d’une rotonde aux formes expressives, les niveaux supérieurs sont évidés et un bandeau mouluré en son centre poursuit son chemin sur les façades pour former l’allège des balcons du 3ème étage.
Deux doubles bandeaux aux motifs floraux viennent orner la façade (réalisation Gentil & Bourdet).
La petite porte côté rue Boulard est cintrée et décorée de sgraffites. La structure de l’ensemble de l’édifice est en ciment armé décoré de joints simulant l’aspect de pierre traditionnelle.
1 Rue Boulard / rue Froidevaux.
Voici une réalisation caractéristique de la transition entre l’Art nouveau et l’Art déco. Il est situé face au cimetière du Montparnasse. Il est doté d’une rotonde aux formes expressives, les niveaux supérieurs sont évidés et un bandeau mouluré en son centre poursuit son chemin sur les façades pour former l’allège des balcons du 3ème étage.
Deux doubles bandeaux aux motifs floraux viennent orner la façade (réalisation Gentil & Bourdet).
La petite porte côté rue Boulard est cintrée et décorée de sgraffites. La structure de l’ensemble de l’édifice est en ciment armé décoré de joints simulant l’aspect de pierre traditionnelle.


Crèche collective Jules Guesde
Arch. Louis Marnez - 1898
14 rue Jules Guesde.
La crèche Jules Guesde, construite en 1898, fait partie des premiers bâtiments dédiés à la petite enfance qui sont apparus après la loi Roussel de 1874 qui avait pour objectif de renforcer les soins, la protection sanitaire et le bien-être des nouveaux-nés et très jeunes enfants.
Voici la première crèche laïque du quartier Montparnasse. Elle a été restructurée entre 1921 et 1922. Ce bâtiment se caractérise par une façade avec un élégant calepinage de briques et une ornementation de mosaïques émaillées.
14 rue Jules Guesde.
La crèche Jules Guesde, construite en 1898, fait partie des premiers bâtiments dédiés à la petite enfance qui sont apparus après la loi Roussel de 1874 qui avait pour objectif de renforcer les soins, la protection sanitaire et le bien-être des nouveaux-nés et très jeunes enfants.
Voici la première crèche laïque du quartier Montparnasse. Elle a été restructurée entre 1921 et 1922. Ce bâtiment se caractérise par une façade avec un élégant calepinage de briques et une ornementation de mosaïques émaillées.


Église Notre-Dame du travail
Arch. Jules-Godefroy Astruc - 1902
59 rue Vercingétorix.
Anti-conformisme et compromis architectural : entre intérieur audacieux et extérieur conventionnel.
Notre-Dame-du-Travail reste un édifice important de l’histoire de l’architecture des églises de la fin du XIXème siècle et début XXème, témoin atypique d’un courant social au sein du catholicisme.
Comme bon nombre d’édifices religieux de l’époque, cette réalisation associe contraintes économiques et solution ingénieuse. A l’image de Saint-Jean de Montmartre, le choix des matériaux est important et répond aux contraintes financières.
C’est sous l’impulsion déterminante du père Soulange-Bodin vicaire de la paroisse et ardent défenseur d’un catholicisme social, que cette nouvelle église verra le jour. En effet il s’investira totalement dans l’élaboration et la promotion d’une souscription pour la construction de cette église.
C’est un des premiers à prôner la séparation de l’église et de l’état et un fervent démocrate. Une fois les fonds réunis, les projets de réalisation se succéderont avec à chaque fois l’objectif de réduire les coûts par rapport au précédent.
En 1897, le fer devient le choix évident pour répondre à la contrainte économique. Le père Soulange-Bodin transformera ce choix économique en choix social.
La structure métallique offre un cadre connu du monde du travail, souvent utilisé dans les bâtiments industriels ou publics mais alors jamais dans les édifices religieux. La façade néo-romane plus conventionnelle viendra « compenser » le choix architectural de la structure de l’édifice.
59 rue Vercingétorix.
Anti-conformisme et compromis architectural : entre intérieur audacieux et extérieur conventionnel.
Notre-Dame-du-Travail reste un édifice important de l’histoire de l’architecture des églises de la fin du XIXème siècle et début XXème, témoin atypique d’un courant social au sein du catholicisme.
Comme bon nombre d’édifices religieux de l’époque, cette réalisation associe contraintes économiques et solution ingénieuse. A l’image de Saint-Jean de Montmartre, le choix des matériaux est important et répond aux contraintes financières.
C’est sous l’impulsion déterminante du père Soulange-Bodin vicaire de la paroisse et ardent défenseur d’un catholicisme social, que cette nouvelle église verra le jour. En effet il s’investira totalement dans l’élaboration et la promotion d’une souscription pour la construction de cette église.
C’est un des premiers à prôner la séparation de l’église et de l’état et un fervent démocrate. Une fois les fonds réunis, les projets de réalisation se succéderont avec à chaque fois l’objectif de réduire les coûts par rapport au précédent.
En 1897, le fer devient le choix évident pour répondre à la contrainte économique. Le père Soulange-Bodin transformera ce choix économique en choix social.
La structure métallique offre un cadre connu du monde du travail, souvent utilisé dans les bâtiments industriels ou publics mais alors jamais dans les édifices religieux. La façade néo-romane plus conventionnelle viendra « compenser » le choix architectural de la structure de l’édifice.


Atelier d'artiste
Arch. H.P. Maillard et Paul Ducamp 1963.
15 Villa Seurat.
Ancien élève d’André Lurçat, Henri-Pierre Maillard plus connu pour ces réalisations de centres nautiques, réalise cet atelier d’artiste qui cohabite avec celles toutes proches de son maître.
15 Villa Seurat.
Ancien élève d’André Lurçat, Henri-Pierre Maillard plus connu pour ces réalisations de centres nautiques, réalise cet atelier d’artiste qui cohabite avec celles toutes proches de son maître.

Maison de l'Inde.
Arch. J.M. Benjamin, H.R. Laroya & G. Leclaire, 1968.
Cité Internationale Universitaire de Paris
Ce bâtiment se distingue par des panneaux de briques rouges, des balcons ornés de mosaïques vertes et des pignons recouverts de mosaïques violettes, évoquant les couleurs du drapeau indien.
Cité Internationale Universitaire de Paris
Ce bâtiment se distingue par des panneaux de briques rouges, des balcons ornés de mosaïques vertes et des pignons recouverts de mosaïques violettes, évoquant les couleurs du drapeau indien.

Maison du Cambodge.
Arch. Alfred Audoul, 1957
Cité Internationale Universitaire de Paris
Le bâtiment adopte une forme en U et marie les codes du néoclassicisme des années 1950 avec des éléments décoratifs inspirés de l'architecture khmère. Ses soubassements striés de bandes horizontales évoquent les temples d'Angkor, tandis que deux sculptures en granit représentant des singes gardent l'entrée, symbolisant le dieu hindou Hanumān.
Cité Internationale Universitaire de Paris
Le bâtiment adopte une forme en U et marie les codes du néoclassicisme des années 1950 avec des éléments décoratifs inspirés de l'architecture khmère. Ses soubassements striés de bandes horizontales évoquent les temples d'Angkor, tandis que deux sculptures en granit représentant des singes gardent l'entrée, symbolisant le dieu hindou Hanumān.

Pavillon Avicenne.
Arch. Claude Parent, André Bloc, Mohsen Foroughi & Heydar Ghiai, 1969
Cité Internationale Universitaire de Paris
Véritable bâtiment emblématique de la Cité internationale universitaire de Paris, tout récemment restauré, la Fondation Avicenne se distingue par son architecture suspendue : des blocs de quatre étages accrochés à une structure métallique, accompagnés d’un escalier extérieur en double spirale.
Conçue initialement comme la Maison de l’Iran en 1969, elle constitue l’un des rares exemples d’architecture suspendue en France. Ce chef-d’œuvre métallique, emblématique des échanges culturels franco-iraniens, porte l’empreinte visionnaire de son concepteur, pionnier de l’architecture oblique et déstructurée.
Pendant plus de 40 ans, elle fut le dernier édifice construit sur le campus de la Cité U. Visible depuis le boulevard périphérique sud, la Fondation Avicenne demeure un exemple unique de bâtiment suspendu à une macrostructure en France.
Cité Internationale Universitaire de Paris
Véritable bâtiment emblématique de la Cité internationale universitaire de Paris, tout récemment restauré, la Fondation Avicenne se distingue par son architecture suspendue : des blocs de quatre étages accrochés à une structure métallique, accompagnés d’un escalier extérieur en double spirale.
Conçue initialement comme la Maison de l’Iran en 1969, elle constitue l’un des rares exemples d’architecture suspendue en France. Ce chef-d’œuvre métallique, emblématique des échanges culturels franco-iraniens, porte l’empreinte visionnaire de son concepteur, pionnier de l’architecture oblique et déstructurée.
Pendant plus de 40 ans, elle fut le dernier édifice construit sur le campus de la Cité U. Visible depuis le boulevard périphérique sud, la Fondation Avicenne demeure un exemple unique de bâtiment suspendu à une macrostructure en France.

Collège Néerlandais.
Arch. Willem Marinus Dudok, 1938
Cité Internationale Universitaire de Paris.
Ce bâtiment constitue l'unique réalisation en France de l'architecte néerlandais.
Il se distingue par son architecture moderniste, caractérisée par une composition de volumes géométriques épurés, des façades jaunes pâles percées de fenêtres horizontales en bandeau, et une tour centrale évoquant un beffroi.
Cité Internationale Universitaire de Paris.
Ce bâtiment constitue l'unique réalisation en France de l'architecte néerlandais.
Il se distingue par son architecture moderniste, caractérisée par une composition de volumes géométriques épurés, des façades jaunes pâles percées de fenêtres horizontales en bandeau, et une tour centrale évoquant un beffroi.

Pavillon Suisse.
Arch. Le Corbusier, 1933
Cité Internationale Universitaire de Paris.
Ce pavillon est la première réalisation moderne de la Cité universitaire et l'une des plus marquantes de l'entre deux guerre.
On y retrouve donc l'application de ses grands principes de l'architecture nouvelle - pilotis, ossature indépendante, plan et façade libres et toit terrasse.
Cité Internationale Universitaire de Paris.
Ce pavillon est la première réalisation moderne de la Cité universitaire et l'une des plus marquantes de l'entre deux guerre.
On y retrouve donc l'application de ses grands principes de l'architecture nouvelle - pilotis, ossature indépendante, plan et façade libres et toit terrasse.

Maison du Brésil, le théâtre
Arch. Lucio Costa, Le Corbusier, 1957
Cité Internationale Universitaire de Paris.
Polychromie: le langage de la couleur, élément d’équilibre pour magnifier et faire frémir le béton.
Au rez-de-chaussée, la salle Lucio Costa abrite un théâtre et un espace d'exposition. Ce théâtre est équipé de sièges conçus par Jean Prouvé, s'intégrant harmonieusement à l'esthétique moderniste du bâtiment.
Cité Internationale Universitaire de Paris.
Polychromie: le langage de la couleur, élément d’équilibre pour magnifier et faire frémir le béton.
Au rez-de-chaussée, la salle Lucio Costa abrite un théâtre et un espace d'exposition. Ce théâtre est équipé de sièges conçus par Jean Prouvé, s'intégrant harmonieusement à l'esthétique moderniste du bâtiment.

Maison de l'Italie
Arch. Piero Portaluppi, 1958
Cité Internationale Universitaire de Paris.
Une évocation aux vieilles demeures italiennes dans cette maison de l'Italie. Sur fond de sobriété de l'édifice sont déposés ici et là plusieurs références antiques. Le porche d'entrée est du XVème siècle, les fenêtres géminées du XIVème siècle.
Cité Internationale Universitaire de Paris.
Une évocation aux vieilles demeures italiennes dans cette maison de l'Italie. Sur fond de sobriété de l'édifice sont déposés ici et là plusieurs références antiques. Le porche d'entrée est du XVème siècle, les fenêtres géminées du XIVème siècle.

Fondation Marie Nubar
Arch. Léon Nafilyan ,1930
Cité Universitaire Internationale de Paris.
Le bâtiment s'inspire de l'architecture religieuse arménienne médiévale.
Les façades sont ornées de frises en bas-relief, de médaillons et de cadrans solaires, évoquant des édifices emblématiques d'Arménie.
Ces éléments décoratifs, tels que les arcatures à double colonnette et les frises végétales, témoignent d'une volonté de perpétuer le faste de la culture artistique arménienne.
Cité Universitaire Internationale de Paris.
Le bâtiment s'inspire de l'architecture religieuse arménienne médiévale.
Les façades sont ornées de frises en bas-relief, de médaillons et de cadrans solaires, évoquant des édifices emblématiques d'Arménie.
Ces éléments décoratifs, tels que les arcatures à double colonnette et les frises végétales, témoignent d'une volonté de perpétuer le faste de la culture artistique arménienne.

Maison de Mexique
Arch. Jorge L. & Roberto E. Medellin, 1953
Cité Universitaire Internationale de Paris.
Bas-relief en pierre d'inspiration maya qui décore l'une des façades. Il fait référence à la découverture de peintures mayas sur le site archéologique de Bonampak.
Cité Universitaire Internationale de Paris.
Bas-relief en pierre d'inspiration maya qui décore l'une des façades. Il fait référence à la découverture de peintures mayas sur le site archéologique de Bonampak.

Pavillon Appell
Arch. Lucien Bechmann, 1925
Cité Universitaire Internationale de Paris.
Le Pavillon Appell, comme les autres bâtiments de la Fondation Deutsch de la Meurthe, présente une architecture en brique et pierre, avec des toitures en ardoise et des détails néo-gothiques tels que des lucarnes, des tourelles et des pignons.
Cité Universitaire Internationale de Paris.
Le Pavillon Appell, comme les autres bâtiments de la Fondation Deutsch de la Meurthe, présente une architecture en brique et pierre, avec des toitures en ardoise et des détails néo-gothiques tels que des lucarnes, des tourelles et des pignons.

Fondation Lucien Paye
Arch. J. Vernon, B. Philippe & A. Laprade, 1951
Cité Universitaire Internationale de Paris.
L'édifice a un style classique dans l'esprit d'Auguste Perret avec des ornementations d'inspiration résolument africaine.
On doit les piliers sculptés de l'entrée à Pierre Meauzé, les bas-reliefs de la façade à Anna Quinquaud. Ils sont bien évidemment d'une autre époque et marquent une certaine vision de l'Afrique, celle des années 1950, en décalage profond avec le temps présent.
Cité Universitaire Internationale de Paris.
L'édifice a un style classique dans l'esprit d'Auguste Perret avec des ornementations d'inspiration résolument africaine.
On doit les piliers sculptés de l'entrée à Pierre Meauzé, les bas-reliefs de la façade à Anna Quinquaud. Ils sont bien évidemment d'une autre époque et marquent une certaine vision de l'Afrique, celle des années 1950, en décalage profond avec le temps présent.
Paris 14ème
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